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RAP

7 juillet 2004

2PAC RESSUSCITE Tupac a beau avoir été

2PAC

RESSUSCITE

Tupac a beau avoir été assasciné,il n'en est pas moins bienvivant!!! Vivant dans nos mémoires, vivant sur tout les diques posthumes et, aujourd'hui, ressuscite par un documentaire présenté lors du célébre festival de cinéma Indépendant de Sundance aux Etat-Unies.bref, Tupac a beau être mort, ses assassins ont loupé leur coup: Tupac est toujours vivant!!! Plus que jamais vivant!!!

sept ans aprés sa mort,Tupac réussità faire encorparler de lui. Evidament si il y a un mec qui a marqué le monde du HIP HOP, c'est bien lui ...Avec son talent tout d'abord, avec ses frasques et ses séjours enprisons, avec ses rôles au cinéma et enfin avec sa mort. Violente. Symbole de la guerre des gangs. Symbole de la lutte West Coast-est Coast. Unemort digne d'une tragédie grecqueou modeerne ou milleur

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5 juillet 2004

113 Alors comme ça, 113 veut foutre sa merde ? on

113

Alors comme ça, 113 veut foutre sa merde ? on ne se mettra pas en travers de sa route. Avec leur second album, Rim-K, Mokobé et A.P. viennent réveiller un rap français engourdi dans sa complainte stérile. Le plus célèbre groupe de Vitry-Sur-Seine n'a pas envie de revenir sur la pointe des pieds etentend bien profiter de son audience impatiente pour enfoncer le clou d'un premier album historique. Pourtant, 113 fou la merde est beaucoup plus fin que son prédécesseur. Les mots sont pesés, le ton choisi avec soinet les vérités toutes bonnes à rappeler. Surtoutcelles qui prennent vie De l'autre côté de la rue. Quant aux musiques à une exception près, toutes signées DJ Mehdi, elles vont au-delàdu convaincant. De quoi s'interroger même sur les capacités hors norme d'un producteur déjà fortoccupésur son propre albumsolo imminent. Pour le  coup, Mehdi n'a pas tergiversé : ici pas de montée ou de nappes, il est revenu aux sources d'un hip-hop enlevéetriche maissurtoutà l'efficacité immédiate.

Sans doute poussée par Manu Key (désormais figurede proueafficieuse de la Mafia K'1-Fry),les rimeurs ont fait grandir le "ton 113" sans OGM. Rien que du naturel, du drôle, du véhément et souvent les deux en simultané et en stéréo. On passe de la rue an night-club sans sourcillier et des voix codées d'un Daft Punkà un reggae militant impeccable sans rechigner. 113a reussi samue. Le trioa su composeravec la pression plûtot que la renier en apprenant une à une chaque ficelle decequ'il considèrent âtredevebu plainement leurs mètier. Les jeunes adultessur ladéfencivelors deleursinterviews d'antan ont laisséplaceà troi hommes sûr d'eux et de leur choix. Et puisqu'il faut bien se plier à l'exercice de la promo, autant qu'elle soit bien faite, quitte à passer une demi-journée entière à se faire prendre en photosous tous les angles. le contrôle c'est d'abord sur lui-même que 113 l'exerce désormais.

confiance et sérénité. peut-être pas les deux mots qui viennement immédiatement à l'esprit lorsqu'on évoque le groupe, mais ceux qui reste une fois qu'on le quitte. Visiblement,un mini-album (Ni barreaux, ni barrières,ni frontières) un LP ( les princes de la ville), une tournée et quelques Victoires de la Musique ont laissé penser à Rim-K, AP et Mokobé que les seules personnes aux quelles ils devaient encor prouver quelque chose étaient eux-mêmes. les hits seront là une nouvelle fois à n'en pas douter, mais que la forme ne nous abuse pas : 113 est devenu le numéro de dossard d'un groupe de rimeurs de fond.

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